Je veux des paillettes dans ma vie, Josie ! ft. Maria

Je veux des paillettes dans ma vie, Josie !

MARIA ET JOSIE

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Tu as toujours été à la recherche de nouvelles idées pour faire connaître ton cabaret. Non pas que ce soit une nécessité, tu as assez de clients, mais tu aimes aussi pouvoir voir de nouvelles têtes et être au contact des gens. Tu avais tenté la distribution de flyers, mais tu dois bien avouer que ce n'est pas ce que tu as préféré. Un de tes employés t'as parlé d'happening et l'idée t'as plu. Faire un petit spectacle gratuitement dans la rue, afin de donner envie et faire venir les gens. Cela te ressemble plus. Tu as fait quelques recherches, afin de voir ce que tu pouvais faire. Tu ne vas pas faire dans l'extravagant et présenter quelque chose que tu connais. De toute manière, le cabaret a quelque chose d'assez original en soi. Tu as mis du temps pour tout ce qui était administratif. Après tout, il te fallait des permissions pour te produire en public. Tu as aussi monté un petit spectacle capable d'être produit en extérieur. Et le jour J est arrivé. Le spectacle était assez simple, mais tout de même plein de plumes et de paillettes ! Suffisamment pour mettre des étoiles dans les yeux des gens, leur donner envie de venir ! Après le spectacle, chacun des danseurs est allé distribuer des tracts au spectateur. De ton côté, tu as décidé d'en parler avec certains. Tu t'approches d'une petite blonde qui est restée du début à la fin et qui avait un sourire sur le visage. Tu te dis qu'elle a dû apprécier ce qu'elle a vu. Tu l'espéres du moins.

“Bonjour ! Vous avez apprécié le spectacle ? Vous pouvez en voir du même genre tout les soirs à l'Absinthe ! Et bien entendu, ce n'est qu'une maigre représentation de ce que nous faisons. Je m'appelle Josie en fait !”

Tu espère ne pas lui avoir fait peur avec ton petit laïus. Tu sais que le côté avenant peut parfois être confondu avec du forcing et c'est la dernière chose que tu as envie de transmettre comme sensation.

(c) oxymort

Je veux des paillettes dans ma vie

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En rentrant du travail, j’avais été attirée par un spectacle de rue. Si je pensais ne rester quelques secondes, j’avais été attirée par la beauté du spectacle et les plumes et les paillettes m’avaient fait oublier le mal être que je ressentais depuis que j’avais découvert ma réincarnation. Le temps de ce spectacle, j’étais revenue Maria Grey. Pas la Maria Grey, réincarnation de Marie Curie. Non, la Maria Grey simple physicienne née en Géorgie et je devais reconnaitre que ça m’avait fait un bien fou. Depuis combien de temps je n’avais pas pris le temps de regarder un spectacle et d’en apprécier la beauté ? Plusieurs mois, sans aucun doute. Quand le spectacle pris fin, je ressentis une pointe de déception. C’est alors qu’une voix s’adressa à moi. Je tournais la tête pour découvrir une jeune femme qui devait avoir sensiblement le même âge que moi, me demander si j’avais aimer le spectacle avant d’ajouter qu’il y en avait tous les soirs à l’Absinthe. De mémoire, c’était un cabaret, ce qui expliquait les paillettes et les plumes. Je n’y avais jamais mis les pieds, préférant consacrer mon temps libre à mes recherches mais j’en avais entendue du bien. Elle ajouta que ce n’était d’une maigre représentation de ce que faisait le cabaret, avant de se présenter. Prise de court, il me fallut quelques secondes pour répondre. « J’ai beaucoup aimé, ça faisait longtemps que je n’avais assisté à un spectacle. L’Absinthe, c’est le cabaret c’est ça ? Je pense que j’y passerai à l’occasion, ça fait du bien de se vider la tête. » Je lui tendis alors une main et ajoutais « Moi c’est Maria. »

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by Wiise

Je veux des paillettes dans ma vie, Josie !

MARIA ET JOSIE

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Tes danseurs vont voir tout sourire les gens qui se sont arrêtés pour le spectacle. Tu as vraiment fait de ton mieux pour époustoufler les gens. Tu as accosté une petite blonde qui avait un grand sourire sur le visage et tu espères qu'elle a aimé le spectacle. Un large sourire s'affiche sur ton visage quand la réponse est positive.

“Je suis contente que vous avez aimé. Et vous savez, dans le cabaret, c'est encore plus impressionnant. Là, j'ai fais avec les moyens du bord. Ce n'est pas facile de faire un spectacle de cabaret en extérieur et en plein jour. A l'Absinthe, on peut jouer avec la lumière, l'ambiance et... Mais pardon, je m'égare. Je parle de trop ! Il faut m'arrêter quand c'est comme ça.”

Tu rigoles de toi-même. Tu peux vraiment être très passionnée quand tu parles de ton métier et ça occupe tout ton temps de parole. Parfois, tu peux parler de ton travail toute la journée. Souvent les gens en ont marre, mais voyant à quel point tu es heureuse, ils ne t'arrêtent pas.

“C'est bien un cabaret oui. N'hésitez pas à passer, je suis sûre que vous allez aimer ! Beaucoup de personne se font une mauvaise idée dessus, mais ils finissent par se faire emporter par l'ambiance. Si vous avez des questions, n'hésitez pas.”

Tu pourrais repartir, après tout, tu as fait ton travail en présentant le cabaret, mais tu as envie de rester discuter avec cette jeune femme, se présentant sous le prénom de Maria. Et tu peux peut être ne profiter pour aussi poser des questions pouvant t'aider dans ton commerce.

“Vous allez où en général pour vous vider la tête ? Pour savoir où est la concurrence pour aller divulguer des fausses rumeurs sur eux.”

Tu fais un clin d'oeil, avant de rire, montrant que tout cela est bien de l'humour. Au contraire, tu penses qu'entre commerçant, il vaut mieux se soutenir que se mettre des bâtons dans les roues. Cependant, tu aimerais quand même savoir quelles sont les enseignes qui marchent pour voir ce que tu peux t'en inspirer.

(c) oxymort

Je veux des paillettes dans ma vie

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La jeune femme qui s’est arrêtée pour me parler du cabaret m’est sympathique. Quelque chose de généreux se dégage de cette femme et c’est avec plaisir que je la laisse me parler de son cabaret. Passionnée, elle me parle de l’ambiance, avec les lumières, avant de s’excuser parce qu’elle parle trop. Pour autant, même si elle m’invite à le faire je n’avais aucune envie de l’arrêter. Elle est passionnée et les gens passionnés me plaisent. D’autant plus que je fais exactement pareille quand je me mets à parler de physique. Alors loin de moi l’idée de l’interrompre. Elle ajoute alors qu’elle est persuadée que je vais aimer et si d’ordinaire ce genre de remarque m’agacerai, je suis certaine que Josie a raison. J’ai adoré ce que j’ai vus dans la rue et voir ça dans un lieu fait pour ça doit vraiment être magique.
Elle finit par m’interroger sur où je vais pour me vider la tête, ajoutant que c’est pour savoir où est la concurrence afin d’aller divulguer de fausses rumeurs sur eux. Au clin d’œil qu’elle ajoute et au ton de sa voix, je comprends qu’elle plaisante. En tout cas, cette Josie me plait, même si j’ai bien peur de ne pas pouvoir lui apprendre grand-chose sur la concurrence, sortant assez peu de chez moi, sauf pour le travail et faire du sport. Mais son énergie et sa passion communicative me font du bien.
« Ne vous en faites pas, je suis pareil. Quand on me lance sur la physique, je ne sais plus m’arrêter. L’avantage, c’est que votre discours est compréhensible pour les autres. Quand je parle de mon travail, les gens sont vites dépassés. En tout cas, je pense que je viendrai. J’ai beaucoup aimé ce spectacle et j’aimerai beaucoup en voir plus. En plus, votre bonne humeur est communicative et je suis sûre que ça me ferait du bien d’aller passer une soirée dans votre établissement. En revache, j’ai bien peur de ne pas pouvoir vous aider au sujet de la concurrence, sauf si vous voyez le café en bas de chez moi comme un concurrent. En générale pour me changer les idées je mets mes baskets et je sors courir alors je ne suis pas certaine de pouvoir vous aider là-dessus. Depuis que j’ai emménagé à Santa Barbara je sors assez peu. »

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by Wiise