Zack - Extremely Wicked...

Être l’hériter d’un empire pharmaceutique prolifique peut sembler être une situation enviable, mais lorsqu’on est élevé dans le seul but d’être le parfait pantin à Papa et Maman, il y a de quoi éviter cette fatalité. Zack l’avait senti très jeune, il était l’aîné alors c’était tout tracé : ce serait lui le futur propriétaire de l’entreprise familiale. Ce n’était sans compter son évident sens de la réalité, il voyait ses parents pervertis par l’argent, se complaire dans le paraître, les faux-semblants et la supériorité fiscale. Ce n’était pas pour lui, il ne finirait pas comme ça, et très jeune, il leur a tenu tête sur ce point, refusant de rentrer dans la petite case toute faite tapissée de dollars qu’ils leur avaient préparé. Beaucoup de désaccord c’était formé et jusqu’à son diplôme Zack avait lutté contre ce plan de vie incompatible avec le sien. Il y avait réfléchi longuement, avait hésité plus d’une fois, pour la simple et bonne raison qu’il laissait sa petite sœur, Zoey, derrière lui. Depuis qu’elle était née, il avait pourtant signé un pacte avec lui-même pour la protéger de toute cette corruption. Ils étaient inséparables, partageant les mêmes opinions sur leurs parents et ce fut certainement pour cela que le jeune homme réussi à franchir le pas et obtint son émancipation à l’âge de dix-huit ans. Le coup de grâce, dont il était plutôt fier, mais c’était nécessaire pour pouvoir se libérer et suivre sa propre voie.

Ce fût comme ça qu’il se retrouvait plus tard à Quantico, poursuivant sa formation de psychologue judiciaire dans la section comportements criminels et déviants jusqu’à valider ses compétences et entrer en collaboration avec l’élite du FBI qui était spécialisée elle aussi dans ce domaine.

Zack n’avait plus de contact avec ses parents, il ne cherchait pas à en avoir, eux non plus, mais jamais il n’avait cessé de parler et voir sa sœur. Il fallait bien plus qu’un couple dysfonctionnel richissime pour les séparer, du moins, c’était ce qu’il pensait. Chaque fois qu’il en avait l’occasion il filait la voir, l’extirpant de son quotidien encore étriqué. Il suivait la vie de Zoey à distance, mais il était présent et c’était l’essentiel. Il était fier de ce qu’elle accomplissait et ne pouvait qu’être ravi en la voyant faire ce qu’elle voulait, elle aussi, préférant la littérature au trône Rosewood. Ils avaient fêté ça d’ailleurs, après tout, c’était leur victoire personnelle.

Lorsque Zoey lui présenta sa petite-amie de l'époque, il fut méfiant, cette inconnue comptait lui enlever sa Zoo’ à plein temps ?! Mais si elle était le choix de sa sœur, alors il devait lui laisser le bénéfice du doute. Et elle avait l'air heureuse, c'était ce qui comptait. Il apporta alors son soutien à sa cadeatte et ce jusqu’à son mariage. Jour où il revit ses parents d’ailleurs, qu’il traita comme de vagues connaissances, avec toute la politesse dont il était capable à leur égard.

Le temps passait tranquillement et Zack était devenu une pointure dans son domaine si bien qu’il était dorénavant indépendant professionnellement, proposant ses services à plusieurs états. Là où on avait besoin de lui pour déchiffrer un esprit malade, tordu ou simplement dérangé, il apportait son aide avec plaisir. Sa réussite ne le changeait pas pour autant, fidèle à lui-même, l’homme loyal, lucide et professionnel qu’il était. Dès que possible, il rendait visite à l'une des femmes de sa vie, la principale d'ailleurs, Zoey, qui vivait maintenant à Santa Barbara. Une ville dans laquelle il se sentait bien, mais son travail lui manquait probablement trop, à chaque séjour, il avait tendance à trop penser et faire des rêves violents, mêlant scènes macabres et visions de procès pour meurtres. Il se disait que peut-être, il se surmenait ? Mais quand il se retrouvait face à un tueur et son mental atrophié, il se rassurait en étant trop passionné par son travail pour s’en détacher.

Au final, sa vie avait prit une tournure dont il était satisfait, ce n’était pas parfait, mais rien ne pouvait l’être, l’essentiel était qu’il se sentait purement et simplement bien. C’était probablement trop beau pour que cela dure… Étant toujours resté prudent lorsqu'il s'agissait de sa belle-soeur, il commença à avoir vent de ses agissements illégaux. A distance, il ne se rendait pas bien compte de ce qu'il se passait, il pensait que ce n’était pas encore arrivé au point de non-retour, que Zoey savait où poser ses limites avec sa femme, mais il voyait l’inquiétude de sa sœur et il ne pouvait s’empêcher de la partager.

Le 19 novembre 2019. On pourrait qualifier cette date de fatidique. Ce jour-là, Zack avait terminé sa journée de travail, il était en train de plaisanter sereinement avec deux agents avec qui il coopérait, ils dînaient ensemble pour oublier un peu l’affaire plutôt lourde en cours. Un plat italien, un bon vin… Tout pour clore une journée trop sérieuse. À la fin du repas, il jeta un œil à son téléphone, il avait, comme à son habitude, envoyé un message à sa sœur, mais elle n’avait pas répondu, elle était sûrement occupée, ce n’était pas matière à s’inquiéter. Si bien que Zack poursuivît sa soirée avec les deux hommes et finit par rentrer chez lui et jeta un dernier œil au dossier sur son bureau avant de finir par aller se coucher. Alors qu’il était au restaurant, prenant du bon temps et riant entre deux gorgées d’Asti, Zoey lâchait son dernier souffle sur le sol de chez elle, à Santa Barbara. Il aurait voulu ressentir quelque chose, avoir une intuition, mais rien. Il était resté avec ce verre en main, écoutant des anecdotes plus loufoques les unes que les autres. Il s’en voudra toujours de ne pas avoir perçu ne serait-ce qu’un frisson le jour où sa petite sœur quitta ce monde.

Le lendemain matin, tout était comme à son habitude et Zack se trouvait en réunion débriefing sur une victime découverte la veille. Il examinait les photos calmement, concentré sur le rapport du légiste si bien qu’il n’entendît pas tout de suite son téléphone. Son voisin de table l’extirpa de sa réflexion pour lui faire remarquer. À cet instant, même si tout le préparait au pire, il n’imaginait pas recevoir un tel coup de poignard à l’annonce que venait de lui faire Emilia, sa belle-sœur, à l’autre bout du fil. « Zoey est morte. » Ces trois mots circulaient en boucle dans sa tête et il n'avait jamais autant détesté quelqu'un qu'à ce moment-là. C'était probablement de sa faute, il en était sûr, elle et ses coups fourrés avec le cartel en bourse... Intérieurement, il se voyait hurler, détruire tout ce qui se trouver autour de lui, et s’écrouler après que le sol se soit dérober sous ses pieds… Extérieurement, il demeurait là, silencieux, debout au milieu d’un couloir vide, en pure crise de tétanie. Il avait trop vu d’images de meurtre pour ne pas imaginer le corps de Zoey à leur place. Le silence avait saisi l’instant, et une partie de ce qu’il était venait de disparaître.

Les jours passaient d’une manière différente, plus longue et pesante. Zoey avait été enterrée à New York, dans leur ville natale et Zack n’eut même pas la force d’assister à son enterrement. Cela restait inconcevable pour lui, il ne voulait pas avoir le cercueil de sa sœur comme dernière image d’elle. Pendant une seconde, peut-être deux, il avait cru que ses parents le contacteraient, mais il devait y avoir un nouveau lancement pharmaceutique plus important pour eux. Le temps passait, les jours devinrent des mois, Zack avait reprit le cours de sa vie, son travail étant son principal exutoire.

Ayant beaucoup de mal à accepter les événements, et probablement dans un élan de vouloir récupérer certaines affaires de Zoey, Zack se rendit à New York après une longue absence. Il comptait affronter ses parents après tout ce temps, qu’ils l’acceptent ou non, il s’en contrefichait. Lorsqu’il arriva sur la propriété Rosewood, ce n’était pas sans amertume, mais à la grande surprise de tous, Zack fût rapidement assis autour de la table familiale, un verre d’eau devant lui. Presque aussitôt, l’aîné Rosewood vit que quelque chose clochait dans le comportement de ses géniteurs. C’était son métier, il n’était pas dupe. Ils lui cachaient quelque chose et il allait tout faire pour savoir quoi.

Au bout d’une heure de discussion, le mensonge se brisait. Ce fut la mère qui fauta la première, et ils n’eurent plus le choix que de dire la vérité. C’était digne d’une fiction, Zoey n’était pas morte. Ils l’avaient cachée, l’avaient effacée pour la modeler en une toute autre personne. Lucy Powell. Elle n’avait plus aucun souvenir de sa vie, amnésie soigneusement contrôlée par un énième poison émit par Rosewood Pharmaceutics. Zack n’en revenait pas, cela dépassait tout ce qu’il avait pu imaginer. Il lui avait tout prit, de sa femme jusqu’à lui. Il aurait volontiers explosé sur-le-champ, mais leur entrevue fut interrompue à temps par l’arrivée d’associés, sauvés par une réunion et une bande de riches, comme d’habitude.

C’était de trop. Zack digérait à peine la nouvelle qu’il partit aussitôt pour Santa Barbara. Lucy Powell était en vie et il fallait commencer là où Zoey Rosewood était morte. C’était le début d’une nouvelle étape dans la vie de Zack, mais il ne le savait pas encore, Santa Barbara allait lui apporter bien plus que ce qu’il en demandait, et ce n’était pas que du bien.

Disclaimer : Le choix de cette réincarnation n'a pas pour but de glorifier l'homme, le tueur, qu'était Ted Bundy. En aucun cas, je ne fais l'éloge, partage quelconques idées ou adule les actes de l'homme qu'il était. Je précise que le personnage de Zack est fictif, la réincarnation de Bundy n'est pas une résurrection du serial killer, la nuance est donc de mise : Bundy était réel, a été condamné à mort pour les crimes qu'il a commis, et justice a été faite. Zack Rosewood n'est que pure fiction et n'a pour objectif que le jeu. La joueuse que je suis ne partage, encore une fois, nullement les idéaux que véhiculait Bundy, comme tout autre tueur. Le personnage que je créait est fondé dans le seul objectif de l'irréel. De plus, ce choix est un choix conscient de ma part, j'entends et comprends qu'il n'est pas évident de l'exposer à tout le monde mais, je tiens aussi à dire que ce choix ne reflète en rien ma vision du monde et n'est là pour offenser, blesser qui ou quoi que ce soit. Merci de prendre en compte ceci, avant de porter quelconque jugement.

Theodore Robert Cowell, son nom de naissance, devenu Bundy par la suite après plusieurs changements d’identités, était un homme à qui on aurait attribué une confiance aveugle. Américain dans sa splendeur, brun aux yeux bleus, étudiant en Droit et inscrit dans de nombreux clubs de campagne politique. En soi, il était un jeune homme type avec une belle gueule à qui on pouvait confier des responsabilités sans soucis.

Son enfance n’avait pourtant pas été banale. Sa mère avait refusé de l’élever, il n’était pas légitime. Elle n’a jamais su lui dire qui était véritablement son père, d’ailleurs, elle ne s’en souvenait pas elle-même. Il fut majoritairement élevé par ses grands-parents, qui se faisaient passer pour les parents de Ted aux yeux de tous, dans un cercle familial plus stable pour l’époque bien que son grand-père était violent. Après avoir découvert sur son acte de naissance qui était sa véritable mère, le jeune homme voua une haine incommensurable à celle-ci. Il obtint le nom de Bundy du dernier mari de sa mère qui l’avait légalement adopté, encore un bout de papier qui ne prouvait en rien qu’il fût son père.

Jusqu’à ce qu’il atteigne l’université, il resta un enfant discret, distant et « un peu étrange ». Un certain attrait pour les affaires de meurtres et surtout, les détails des corps mutilés. Son cursus scolaire était plus ou moins chaotique, mais il savait s’entourer et continua des études de Droit, puis de psychologie, souvent soutenu et recommandé par les personnes qui travaillait avec lui au bureau de campagne de parti politique(notamment des hommes politiques d’ailleurs). Un homme « à l’écoute, gentil, attentionné, drôle et intelligent » diront ses anciens collègues.  

Le plus gros problème de Bundy était certainement les relations amoureuses, et à proprement parler : les femmes. Ses conquêtes étaient nombreuses, il avait pleinement conscience de son charme et avait appris à l’utiliser. Plusieurs petites amies avaient marqué son esprit, les plus connues étant Elizabeth Kloepfer « Liz » et Stephanie Brooks (ainsi que Carole Ann Boone qui deviendra sa femme après son incarcération). Dans plusieurs de ses interviews, il évoquera avoir sincèrement aimé Liz, le sujet étant toujours soigneusement évité par le principal concerné. Beaucoup de psychologues on émit l’hypothèse qu’elle était la seule à avoir eu le meilleur de Bundy dans son intégralité. Dans le cas de Stéphanie, il annonça qu’il voulait surtout se prouver à lui-même qu’il était capable de l’épouser sans pour autant passer à l’acte. Il eut beaucoup d’autres conquêtes, souvent en même temps, mais il parlera surtout de celles-ci. Après la rupture amoureuse d’une de ces deux femmes (les versions divergent sur laquelle, beaucoup pensent Liz, mais certains énoncent Stéphanie) Ted commença à décrocher de son cursus universitaire, et au même moment des disparitions de jeunes femmes inquiétèrent la police du Nord-Ouest des Etats-Unis.

La série de meurtres qui s’en suivit fut colossale. (je ne décrirais pas les meurtres ici, par soucis de bienveillance envers vous). Aux quatre coins des Etats-Unis, les autorités signalaient les disparitions de jeunes femmes, retrouvaient des corps mutilés, violés. Des scènes « abominables », « monstrueuses » furent alors évoquées dans les journaux.

Le mode opératoire de Ted Bundy était simple : sa belle gueule. Il se bandait souvent un bras ou un pied, prétextant une blessure et demandait de l’aide aux jeunes femmes qui, dans un élan de bonté et séduites, acceptaient avec plaisir. Il les enlevait alors et les déplaçait à l’aide de sa Volkswagen Coccinelle beige, voiture très répandue à l’époque, ce qui entravera les inspecteurs. La description détaillée des meurtres était bien sûr parue dans la presse, les journalistes surnommèrent alors le tueur en série « the Lady Killer ». Il restait inconnu, malgré un vague portrait robot donné par une victime survivante, il agissait la nuit et était un fantôme aux yeux de la police.

Bundy poursuivit alors ses études dans différentes facultés du pays, laissant de nombreux corps dans son sillage. Il fut même interrogé par les autorités plusieurs fois, notamment à cause de son véhicule, mais il ressortit libre, aucune preuve n’était contre lui. Liz, avec qui il entretenait toujours une relation amoureuse, tenta plusieurs fois de prévenir la police, pour elle, Ted était le tueur mais encore une fois, bien qu’ajouté à la liste des suspects, aucune preuve ne le liait aux meurtres.

C’était maintenant dans plusieurs états que les meurtres avaient été commis et parallèlement Bundy menait une vie simple, aux côtés de Liz et tous deux envisagèrent le mariage. Il fallut alors encore des mois avant qu’un croisement de données et de témoignages fasse remonter le nom de Ted Bundy au sommet de la pile des suspects. Malgré leurs recherches, il resta introuvable un long moment et ce n’est qu’après un contrôle de police pour excès de vitesse qu’un officier arrêta Bundy après avoir reconnu le véhicule et sa description. Suite à la fouille de sa voiture, l’attirail du parfait tueur en série fut trouvé, de faux plâtres et béquilles jusqu’à la corde servant à entraver ses victimes. Seulement, à ce moment-là, les enquêteurs le poursuivaient pour une agression et tentative d’enlèvement suite au témoignage d’une jeune femme, rien à voir avec les meurtres. Libéré sous caution par ses parents, Ted retourna auprès de Liz, jusqu’au procès où il sera jugé coupable d’enlèvement, agression et violence aggravée. Les meurtres ne sont pour l’instant pas reprochés à Bundy, les enquêteurs manquant de preuves. Une sentence de 15 ans de prison lui fut assénée, puis la première condamnation pour meurtre arriva dans son sillon.

Ce n’était sans compter l’ingéniosité de Bundy, incarcéré, qui réussis alors à s’évader à deux reprises de prison. Une première fois par la fenêtre de la bibliothèque du tribunal, une deuxième fois après s’être affamé pour maigrir au point de pouvoir se glisser dans le faux plafond de sa cellule et sortir par la loge du gardien. Il resta quelques mois en cavale avant de se faire arrêter à nouveau, définitivement. Lors de son procès pour les différents meurtres à travers le pays, il assura lui-même sa défense, grâce à ses études en droit, jugeant ses avocats « incapables ». Il sera alors l’acteur d’une plaidoirie remarquable en sa faveur. Bundy se servait des médias, affichant son plus beau sourire, accordant des interviews et photos à plusieurs journaux de l’époque. Tous les services de police de chaque État le relièrent alors aux meurtres en série des jeunes femmes retrouvées dans leurs comtés.

À l’âge de 43 ans, Theodore Bundy fut condamné deux fois à mort. L’annonce de sa première condamnation à mort fit l’objet de beaucoup de médiatisation, le procès étant filmé. Les paroles du juge allaient alors faire le tour du monde : "The crimes were extremely wicked, shockingly evil, vile, and the product of design to inflict a high degree of pain”. Le magistrat termina alors son annonce finale par un échange émotionnel avec Bundy : “I say that to you sincerely; take care of yourself. It is an utter tragedy for this court to see such a total waste of humanity, I think, as I've experienced in this courtroom. You're a bright young man.” C’était là tout l’art de Bundy, il avait commit les pires atrocités, mais de part son éloquence, son charme et son intelligence, il prouvait qu’il était humain et qu’il n’était pas comme tous les autres tueurs en série. Beaucoup diront qu’il était quelqu’un de bien, ayant commis d’affreuses choses, mais quelqu’un de bien après tout. Au total, trente-sept meurtres lui furent attribués, mais Bundy en relata plus d’une centaine, les corps des victimes n’ont jamais été retrouvés. Il tarda à avouer tous ces meurtres, mais choses faite, il n’éluda aucun détail à leur sujet. Il précisera maintes fois qu’il ne se sentait coupable pour aucun de ses actes.

Quelques années plus tard, alors qu’il était dans le couloir de la mort, deux agents du FBI (dont John Edward Douglas) qui s’occupait de la création de la section profilage de leur bureau, on fait appel à Ted Bundy pour qu’il les aide à capturer le tueur de Green River. Il apporta beaucoup à l’enquête jusqu’à sa résolution. Le FBI utilisa alors l’aide de Bundy et d’autres tueurs en série, pour créer ce qui sera plus tard l’académie de profiler à Quantico.

Theodore Robert Bundy a été exécuté le 24 janvier 1989 par électrocution sur la chaise électrique au sein de la prison d’État de Floride. Comme toute son histoire, l’évènement a été médiatisé et de nombreux fanatiques étaient présents ce jour-là devant les grilles. Les dernières paroles de Bundy furent à la fois énigmatiques et précises, une phrase, notamment, deviendra l’une de ses plus célèbres :



Cette “biographie” de Ted Bundy s’inspire des différentes sources medias que l’on peut trouver. Les versions de Bundy lui-même ont tant différé qu’il est difficile de s’en fier qu’à une seule. J’ai pris la liberté de faire mes propres choix de sélection sur certaines.


Sources et conseils si vous vous voulez approfondir le sujet :

• Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile – Netflix : Ted Bundy est joué par Zac Efron (Vous voyez le rapport ? Ah bon ?) et la biographie que j’ai relatée ici s’inspire de la version retenue pour faire le film.
• Ted Bundy : Autoportrait d’un tueur – Netflix
• Pour le reste, les vidéos de son procès, de ses interviews et le jour de son exécution sont disponibles sur Youtube.